6‏/8‏/2013

Sahi ahmed الشاعر الذي لا يتكلم كثيرا ......


sahi ahmed

Encore bizarre !!!!!

 Bizarre ! Nombreux se font tant de tort !

 Une science qui se veut mystère

 Une mondialisation de misère

 Une loi du primate le plus fort

 Un progrès inventant les  peurs

 Un monde qui se veut rebelle,

 Mythe, crédo, religion, quel joli Noel !

 Epoux, amant, un vertige immortel !

 Amour de cour, passe-temps, quelle fidélité !

 Amitié , une porte de sortie, quelle charité !

 Amour, brouille, haine, Quelle fierté !

 Adam….Fukku Yama, quel étrange songe !

 Complicité, union, quelle ressemblance !

 Eve …Dolly ! Quelle descendance !

 Mars, Jupiter, où est passée l’antique terre ?!

 Otage, carnage, quelle insolite guerre !

 Colombe venimeuse, hirondelle meurtrières,

 Bizarre est cette autre phone nourrie de fuel !

 Cosette, Omar, Bill, ce régiment en guerre !

 Bill, Omar, Cosette, cette nécropole d’enfants !

 Bizarre est ce monde de gentils brigands 

 Cow-boy, Jerusalem, quel montage!

 Bizarre, je m’égare dans ce tapage !

 

                                                   Sahi Ahmed   12/03/2010



Rien n'était éternel, ni profond

Comme étaient doux ces petits  instants
Dont se souvient mon cœur d’enfant.
Tu me récitais une si belle chanson
Où l’amour n’a plus de régnant
C’était au printemps, sur ces bancs
Où les jeunes épris rêvaient à foison
Sous le regard naïf des passants
Et la tiédeur d’un soleil assez vaillant
Envoûtant de jeunes pierrots et  papillons
Rien n'était durable, ni  troublant
Comme était ton sourire avenant
Dont se souvient mon cœur d’enfant
Tu me contais ton passé éreintant
Où se querellaient amour et raison
C’était il y a un peu longtemps
Lorsque tu n’avais que seize ans.
Et moi que mes penchants.

                    Sahi Ahmed
                    
                                               
C’était écrit

C'était écrit dans ton regard,
Ce départ insolite !
C'était sentis dans ton silence,
Ces soupirs profonds
Ce jour le soleil était sans vaillance !
La lune avait cessé sa cour au ciel !
La rue ne parlait plus d’hier.
Les saisons se confondaient à l'horizon.
On parlait d'une guerre qui avance
Les slogans t'appelaient
Et tu devrais partir à l'aube.
Sous ma chair, dans mes veines,
Sous mon oreiller, partout et sur les murs
J’entendais dire, en murmure, mon silence
Adieu les vacances du prochain printemps
Adieu mes songes de tous les temps.......!
C'était écrit dans ta destinée une partance
C’était écrit dans la mienne une errance !

C’est juste moi !!!!!   

Ni aède paré de perles honorant les émirs
Ni fouet levé terrifiant le bruit des satires  
Je suis cette mélodie fort éprise de  sa lyre 
Ni féru du temps semant les faux sourires
Ni orateurs devinant le dams de l’avenir 
Je suis une paix effrayant les vieux empires
Ni couard caressant  les oreilles des sires
Ni cagoule inventant des farces de cire  
Je suis cette révolte, sachant se  ressurgir
Ni enjôleur de bonté aux temps des désirs
Ni égaré ne sachant comment revenir 
Je suis ce passé se livrant au devenir
Ni sceptique serf des ères des vampires !
Ni celée appelée Eve dans ses délires !
Je suis ce moineau fuyant les zéphyrs !

                           AMICALEMENT SAHI


                    Viens ouïr

 Viens ouïr cette chanson, si pleine de bonheur.
Remplis-en ton  cœur et convie ton âme à la danse.
C’est au printemps que les papillons adulent les fleurs,
Et à l’aube que le sort se pare de nouvelles chances
 
Oublie un instits et renonce à l’errance
T’as un dû envers cette lune timide et luisante
Quelque part, un autre soleil te réchauffe en silence
Un regard te contemple dans cette  foule si bruyante
 
Viens ouïr cette mélodie, si lointaine dans le temps
Si proche des cœurs emplis d’amour et d’enfance 
Sois charmeur, un nouvel horizon t’invite au chant
 
Crayonnes-y ton rêve et bâtis-y un nouveau temple !
C’est à l’automne d’inciter les meilleurs les romances
Et à demain de créer ses poèmes et ses défenses. 
 
                                          MES AMITIES    
                                          AHMED SAHI